photo JT
L'ecroulement de plusieurs centaines de tonnes de rochers le 4 janvier, qui coupe le chemin d'accès au Nivolet. Le passage est aujourd'hui dégagé et l'accès de nouveau possible aux 4x4 ; mais les traces en restent impressionantes...
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photo JT
L'ecroulement de plusieurs centaines de tonnes de rochers le 4 janvier, qui coupe le chemin d'accès au Nivolet. Le passage est aujourd'hui dégagé et l'accès de nouveau possible aux 4x4 ; mais les traces en restent impressionantes...
Au départ d'Aillon le Jeune (Massif des Bauges) une belle escapade en direction du sud... La neige fraîchement tombée crée l'ambiance et sollicite le photographe !
Première neige à Plainpalais ; idéal pour une sortie raquettes...
Le temps humide de ce début d'automne fait le bonheur... des champignons.
A St-Alban-Leysse, en 218 avant JC, l'oppidum de Saint Saturnin domine la cluse de Chambéry. En contrebas sera élévée plus tard la ville romaine de Lemincum (aujourd'hui, Lémenc) ;
(oppidum = site fortifié Allobroge)
La cluse chambérienne était envahie d'eau et de boue suite à la fonte des glaciers de l'époque quaternaire. Un torrent descendant des Bauges, La Leysse et une petite rivière tranquille provenant de la cluse, l'Albanne, traversaient, en se mélangeant, la future ville de Chambéry.
Chambéry n'apparaît vraiment comme une petite cité, Camberiaco, qu'au XIe siècle. Un acte de donation daté de 1057 atteste l'existence d'un burgus et d'un castellum à l'emplacement de l'actuel chateau des Ducs.
« La cluse de Chambéry, important passage de pénétration entre l'avant-pays et le Combe de Savoie, possède à Saint-Alban-Leysse l'oppidum de Saint-Saturnin, qui fut fouillé très partiellement à la fin du XIXe siècle et dans les années 60 ; il a révélé une occupation importante au premier âge du Fer. Véritable citadelle naturelle, il domine tout le bassin de Chambéry et le site antique de Lémenc (Lemincum, Lemo, l'orme en gaulois), nouvelle ville qui remplaça l'oppidum à la romanisation. Après Larina, c'est le plus vaste de l'Allobrogie et il a pu être destiné, comme lui, à une occupation permanente ou comme refuge car sa taille en fait un pôle d'occupation important. » Aimé BOCQUET, historien
Le lac St André pris par la glace ; une fine couverture de 5 à 8 cm ; encore quelques jours de gel et on traverse à pied !
"Le bonheur n'est pas une destination à atteindre mais une façon de voyager dans les rêves. Un jour, au détour d'un chemin, au croisement d'une route, il s'offre à nous..."